Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Changements climatiques et conséquences des actes de l'Homme sur les océans

10 février 2017

Au fil du temps, l'utilisation des océans et des

Au fil du temps, l'utilisation des océans et des ses écosystèmes a évolué devenant ainsi plus intensive. A partir des années 1930, l'apparition des activités pétrolières sur les étendues marines a accentué le réchauffement climatique. Ce phénomène a été amplifié notamment avec l'industrialisation. Selon nous, il se traduit par l'augmentation des températures terrestres qui est naturelle à l'origine mais qui a été accéléré par les activités humaines. Il touche fortement la biodiversité marine ainsi que son écosystème. Cela entraîne donc de nombreuses conséquences néfastes pour l’environnement. L'Homme réagit de diverses manières face à ces modifications. Son comportement varie puisqu'une part de la population est sensible au sujet tandis qu'une autre part y porte peut d'attention. C'est pourquoi nous nous demanderons si les océans sont au service de l'Homme où si l'Homme est au service des océans ? Dans un premier temps, nous porterons un regard sur l'utilisation massive de ce-dernier par l'Homme. Dans un second temps, nous étudierons les multiples impacts environnementaux qui existent par rapport aux océans. Enfin, nous relaterons les solutions envisageables pour régler les problèmes.

Publicité
Publicité
10 février 2017

Les diverses manières d'exploitation des oéans par l'être humain

 L'utilisation des océans remonte à plusieurs siècles, et les techniques pour l'exploiter sont nombreuses. La conquête des mers n’est pas un événement récent de l’histoire de l’Humanité. Depuis toujours, les hommes se sont aventurés en mer et ont cherché à maîtriser les océans afin d’échanger, contrôler, découvrir et s’ouvrir au reste du monde. La mer figure plus que jamais au cœur des enjeux de notre siècle. La maritimisation étant un prolongement de la globalisation.

En effet, la surexploitation des océans est un des facteurs dominant de son usage engendrant ainsi de multiples conséquences.

D’un point de vue historique, l’océan a toujours été un enjeu crucial : son intérêt géopolitique réside dans le fait que le contrôle des voies maritimes permet une suprématie militaire et commerciale. Par le passé, la valeur de la mer et des écosystèmes côtiers était habituellement estimée en fonction des ressources qu’ils offraient (poisson et autres ressources vivantes, ressources minérales, graviers, bois de mangrove, substances chimiques extraites d’organismes marins…). Mais la valeur des services qu’ils dispensaient était ignorée

Les marées noires sont une conséquence grave de cette surexploitation. Les bateaux transportant le pétrole risquent de les créées, à l'instar du Golfe du Mexique qui est un point dominant de ce genre de catastrophe.

Nous remarquons que dans le magazine Sciences et Avenir n°17, cela à des dégâts sur la faune locale; notamment sur les oiseaux marins ainsi que sur les tortues. Ce choc pétrolier est d'autant plus grave puisqu'il est intervenu en pleine période de reproduction. De plus, le pétrole qui s'est accumulé au fond des eaux risque de se déplacer vers l'océan Atlantique. Les sédiments qui sont situés sous la marée noire vont recracher pendant plusieurs années des éclats de pétrole toxiques selon Susan Lozier, océanographe et physicienne.

L'aquaculture intensive est un facteur dominant de la destruction massive des océans. On qualifie une aquaculture intensive d'une culture dépassant les 200tonnes par habitant et par an.

D’immenses surfaces de mangroves ont été défrichées pour installer des élevages, bouleversant des milieux qui abritaient de nombreuses espèces d’animaux, et entraînant une forte érosion des sols et un affaiblissement de la protection contre les crues. Les étangs d’élevage sont abandonnés au bout de 3 à 5 ans d’exploitation en raison de la formation progressive d’une boue toxique au fond des bassins (mélange d’excréments et de produits chimiques) laissant une zone impropre à tout autre usage.

Comme dans tous les élevages intensifs, les maladies se propagent rapidement entre les animaux. Des élevages aquacoles entiers sont décimés et doivent être fermés quand cela survient. Pour limiter ce risque, les éleveurs traitent les animaux aux antibiotiques, antifongiques et autres pesticides. Cela pose un problème de santé publique lorsque des résidus d’antibiotiques se trouvent dans la chair des animaux consommés, ou qu’elle est contaminée par divers polluants. On constate par ailleurs la présence de bactéries résistantes aux antibiotiques dans les sédiments situés sous les parcs.

Les élevages aquacoles sont une menace pour la faune sauvage. Les antifongiques, pesticides et autres produits chimiques contaminent les eaux. Les animaux qui s’échappent des enclos propagent les maladies contractées dans les élevages à leurs congénères sauvages. C’est ainsi que l’épidémie d’anémie infectieuse du saumon qui sévit dans les fermes aquacoles du Chili depuis 2007 a ravagé de nombreux élevages et que le virus s’est transmis aux poissons sauvages via les saumons évadés.

On remarque également une intensification de l'utilisation des techniques de pêche depuis 1990. Les dispositifs de concentration de poissons sont de plus en plus utilisés. Ils consistent à regrouper tous les poissons dans un même secteur afin de maximiser la pêche. D'après Greenpeace, les stocks de poissons ont considérablement diminuer puisqu'ils n'en reste plus que 35% à 55%. Les filets de pêche tuent 30 dauphins du Yangtsé, c'est devenu l'espèce de cétacé la plus menacée au monde.

Ces pêches intensives ont des conséquences catastrophiques car une espèce sur trois est en voie de disparition. La plongée sous-marine présente elle aussi de nombreux risques puisqu'en nageant, les pratiquants de cette discipline peuvent heurter des gorgones et casser des morceaux de coraux, endommageant ainsi la biodiversité, comme nous le prouve un article sur le site le Parisien.

 

Cette exploitation est à l’origine de nombreux enjeux pour les territoires possédant et utilisant les océans, puisqu’il s’agit tout d’abord d’un enjeu économique.

10 février 2017

Les enjeux économiques et vitaux résultant de cette exploitation

  En effet, l’utilisation des océans remonte à plusieurs siècles. Cette exploitation maritime s’est intensifié avec le commerce triangulaire au XVIème siècle. Au fil du temps, l’océan est resté une ressource économique très importante notamment avec les plaques pétrolières qui ont été installées pour la première fois dans les océans au début des années 1930, et qui représentent un gain d’argent considérable malgré les risques de pollution ou de catastrophes liés à ces plateformes. Nous pouvons constater qu’il y existe de nos jours un nombre conséquent de plates formes pétrolières dans les océans;

 

De nos jours, 90% des marchandises du commerce international circulent par voie maritime, comme nous le prouve le croquis ci-dessous.

 

 

Par ailleurs, l’enjeu économique le plus important est la pêche qui est partagée par plusieurs multinationales. En effet, sur le site internet de Slowfood, nous lisons que 40 % des élevages des saumons du Chili sont entre les mains de quelques multinationales ou des Japonais Mistsubitchi qui détiennent 60% du commerce du thon rouge, ce qui est énorme, à cause de la réduction des droits de douanes qui a entraîné une surexploitation des stocks de poissons ayant une valeur commerciale détruisant ainsi l’écosystème marin, mais aussi avec l’aide d’accords commerciaux qui sont généralement établis entre les gouvernements des pays du Nord et des gouvernements de pays pauvres qui bradent leurs eaux territoriales très poissonneuses (mais dont les stocks déclinent rapidement) comme les pays d’Afrique de l’Ouest.

De plus, les océans sont au cœur des enjeux géostratégiques.

Nous remarquons que cela concerne les pays les plus riches du monde, soit la Russie, la Chine, et bien évidement les États-Unis. La carte ci-dessus présente aussi la ZEE des pays et nous constatons que cette dernière est très grande pour certains mais qu'elle recouvre aussi une grande partie des océans.

De plus, nous constatons sur cette carte que de nombreuses zones sont sous tensions, ce qui entraîne parfois des conflits d'usage.

 

En outre et en approfondissant, nous constatons que le globe comporte de nombreuses zones de pirateries notamment dans le Golfe de Guinée, au large de l'Équateur et du Pérou. Les grandes zones de pêche attirent elles-aussi les convoitises puisque ces dernières sont plus exploitées par les grands commerçants que par les petits qui sont laissés de côté.

Les frontières maritimes sont aussi très disputées entre les pays voisins puisqu'il y a une contestation de la limite des eaux territoriales qui conditionne la zone économique exclusive, c'est-à-dire la ZEE. C'est la cas des eaux Grecques et Turques, de la mer de Chine orientale mais aussi de celle du Japon.

Par ailleurs, nous pouvons remarquer que l'océan appartient aujourd'hui majoritairement aux pays les plus riches de la planète à l'instar de la Russie; du Canada, de la Norvège mais aussi des États-Unis et du Danemark. Dans un rapport, la WWF, le Global Change Institute et le Boston Consulting Group (BCG) se sont intéressés à la valeur économique du patrimoine océanique. Celui-ci est estimé à 24 000 milliards de dollars, sans mesure commune avec les plus grands fonds souverains du globe. À titre de comparaison, le fond de pension gouvernemental de la Norvège est valorisé à 893 milliards de dollars. 

 

Si nous nous intéressons au Produit marin brut (PMB), la France se place alors au 7ème rang des pays les plus riches de la planète, entre le Royaume-Uni et le Brésil, avec 2 500 milliards de dollars générés chaque année grâce aux océans. Avec ce schéma nous comprenons que l'océan est un moyen économique très important pour les États. En effet; les activités qui génèrent le plus de gain est la pêche qui rapporte plus de 6 900 milliards de dollars. Nous visualisons aussi que les activités qui rapportent beaucoup de monnaies sont aussi les activités liées au tourisme mais aussi ce qui est plus connu le commerce et le transport sur les voies maritimes. En conséquence, les océans procurent de la valeur sous diverses formes que les Hommes et les pays sont capables de détourner pour leurs profits.

La globalisation et la rationalisation des marchés a également porté a l’utilisation intensive et au transport sur grandes distances de farines de poissons. Aujourd’hui, 30 millions de tonnes de petits poissons sauvages dont les anchois, les maquereaux, les sardines ou bien les harengs et les merlans sont transformés en farine de poissons pour nourrir les poulets les porcs à forte valeur commerciales. Ces derniers consomment à eux seuls six fois plus de poissons que l’ensemble des consommateurs américains. Selon une étude australienne, la farine de poissons est aussi utilisée pour les animaux à fourrure, où les chats domestiques consomment 5.3 millions de tonnes de poissons.

Mais, l'océan Arctique est un exemple typique de collision entre une volonté de développement économique et un souci de protection de la nature, comme la expliqué Philipe Valette, océanographe et directeur du centre NAUSICAA à Boulogne-sur-mer. En effet, la dislocation progressive de la banquise qui est due en partie au réchauffement climatique, modifie radicalement le paysage Et laisse entrevoir à terme une future voie maritime directe entre l'Europe et l'Asie, tandis que les réserves d'hydrocarbures dans le sous-sol sont convoitées par les industriels parce qu'a cause de la fonte de la banquise, il pourra y avoir des exploitations beaucoup plus accessible qu'aujourd'hui. Or comme nous le savons qui dit exploitations minérales ou fossiles dit pollution importantes. S'il n'y a pas plus d'exigences drastiques qui pèsent sur les enjeux économiques.

Tous ces enjeux économiques entraînent des conflits d'usage, entre les usines qui utilisent mal les océans vis-à-vis des associations qui font notamment pression sur le pouvoir public pour que les entreprises cessent leurs activités néfastes sur l'océan.

C'est le cas pour les forages pétroliers avec les États-Unis sont libres d'accorder des permis d'exploitation dans leur Zone Économique Exclusive, normalement limitée à 200 miles des côtes. Comme l'a noté Julien Rochette, chercheur à l'institut du développement durable et des relations internationales «  il existe des accords régionaux comme en Méditerranée ou en Atlantique-Nord «  mais aussi « avant d'envisager une coopération, il y a d'abord en Arctique des conflits de territoire à régler. » Nous pouvons donc comprendre que les entreprises privilégient les aspects économiques avant les aspects environnementaux.

 

En conséquence le recul de la banquise accroît les enjeux économiques puisque cela stimule deux convoitises: l'exploitation de ressources minières, forestières et énergétiques ainsi que l'exploitation de nouvelles routes maritimes. Jusque-là impossible ou alors trop dangereuse, l'utilisation des passages polaires est envisagée de plus en plus sérieusement par les grandes compagnies de transport maritime. La course aux minerais et aux hydrocarbures représentent un enjeu économique important puisqu'il permettrait d'accroître la présence humaine et l'activité industrielle.

Le sort de l’Arctique semble donc être prisonnier des cours des minerais et hydrocarbures rendant l’aventure plus ou moins rentable, ainsi que des négociations internationales entre des pays actuellement plus tournés vers leurs intérêts nationaux que vers l’intérêt collectif.

Puis, pour d’autres personnes le plus important est l'économie car ceci leur paraît plus important que de protéger la nature. C'est le cas de Jean Dufourcq qui a expliqué que : L’important, en première analyse, c’est de préserver le flux maritime, et donc le flux économique, qui relie Shanghai et Rotterdam. La nouvelle relation du continent européen au développement de l’Asie repose sur cette artère économique vitale qui relie la Chine à l’Europe ; elle instaure une dépendance maritime stratégique mutuelle.

Enfin,il y a aussi un enjeu stratégique de l’utilisation des océans. S’ils sont promesse de richesses quasi-inépuisables et d’opportunités économiques nouvelles, les mers et les océans sont aussi le théâtre de menaces nouvelles et d’une compétition acharnée entre États aux capacités d’action sur mer en pleine croissance. Les tensions juridiques et militaires, générées par la volonté de certains États d’étendre ou de contester les limites de leurs eaux territoriales ou de leurs zones économiques exclusives, témoignent de l’importance stratégique et économique des espaces maritimes.

 

L’importance de l’océan pour le climat mondial ne peut pas être sous-estimée. Les océans absorbent une quantité importante de dioxyde de carbone et une très grande quantité de l’excès de chaleur. En outre, l’océan est le plus grand et l’un des plus importants systèmes de soutien de la vie sur cette planète. Cependant, le réchauffement de l’atmosphère en raison de l’augmentation de la concentration des gaz à effet de serre, la pollution issue de la terre, la surpêche, les activités non-durables de développement sur les zones côtières, les activités humaines, contribuent ensemble à exercer une pression énorme sur les océans du monde, des zones côtières jusqu’aux écosystèmes marins.

Tout d’abord ,les océans sont une ressource vitale pour l’Homme puisque ces derniers abritent de quoi nourrir les populations humaines grâce aux poissons.

Cet enjeu vital, touche la biodiversité puisqu’il faut nourrir de plus en plus de personne. L’aquaculture intensive est le principal facteur qui permet de nourrir les humains, mais, cela entraîne une pollution majeure. En effet, l’aquaculture intensive entraîne d’énormes quantités de déchets organiques ( matières fécales)et les eaux usées sont libérées dans l’environnement naturel autour des sites.

Cela touche aussi la biodiversité puisque ce la peut entraîner la disparition de certaines espèces maritime dont les anchois car malgré qu’ils sont en voie de disparition, nous constatons qu’au Pérou, les tribunaux donnent quand même des autorisations spéciales pour pêcher ce dernier malgré qu’il soit en extinction.

L’océan permet de créer ainsi des milliers d’emplois dans les domaines de la pêche, de l’aquaculture et encore plus d’emplois indirects dans les secteurs liés à la mer comme le tourisme, les activités militaires…

De plus, un bon nombre de la population vit le long des littoraux, ce qui représente un enjeu majeur dans la construction d’habitation, nous pouvons constater qu’il y a de plus en plus d’érosion côtière détruisant ainsi de nombreuses habitations notamment en Afrique. C’est le cas au Sénégal, puisque 60% de la population vit les long des 531 kilomètres de côtes. Si l’érosion côtière est en partie due au changement climatique, elle est accentuée à certains endroits par l’Homme.

C’est aussi le cas dans les îles Kiribati, qui subissent une montée des eaux très importante ainsi que des nombreuses inondations, submergeant ainsi de nombreux villages faisant relocalisés beaucoup de villageois.

Des études ont été menées, et révèlent que pour réparer les érosions côtières, cela mènerait à des coûts financiers considérables sans oublier les conséquences sociales.

Par ailleurs, la privatisation des plages empêchent de nombreux d’accéder aux plages, à la mer qui est et doit rester un patrimoine commun et dont la gratuité doit être garantie à tous.

Malgré le fait que l’océan s’avère être une ressource importante à l’Homme pour diverses raisons, sa surexploitation entraîne de multiples impacts environnementaux sur tous les océans du globe.

10 février 2017

Les changements climatiques

Nous pouvons constater de nombreux bouleversements environnementaux au niveau du changement climatique. Ce tableau nous montre les principaux risques auxquels sont confrontés les océans d’après ltd. Il montre les activités et les menaces qui existent à l’égard des océans l'importance des risques qu'ils encourrent; qu'ils soient faibles, moyens ou très élevés.

Ensuite, la montée des eaux résulte du changement climatique. C’est se qui se produit dans les îles Kiribati d’après le périodique le Monde. Ces îles sont entourées de 3.5 millions de kilomètres carrés d’océan, d’après les estimations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), la montée des eaux pourrait atteindre 98 centimètres d’ici à 2100, soit un tiers de l’altitude maximale de Tarawa. Une fois de plus, dans les îles Kiribati, dans l’île de Betio qui appartient à l’atoll de Tarawa, la mer monte de 2.9mm par an.

Le phénomène est donc lent, complexe, variable et impossible à saisir d’un simple coup d’œil d’après la communauté des scientifiques.

De plus, un rapport de la Banque mondiale datant de 2000 estime que si rien n’est fait, jusqu’à 54% de la surface de Bikenibeu (une localité de Tarawa-sud), et jusqu’à 80% de celle de Buariki ( une île du nord de Tarawa) seront submergées d’ici 2050.

Par ailleurs, dans les principaux bouleversements auxquels sont confrontés les océans, on trouve le fait qu'ils rendent les terres incultivables. En effet, avec le phénomène "El Niño,  caractérisé par une augmentation anormale de la température des eaux du Pacifique-Est, le long des côtes de l'Amérique du Sud". Il constitue un bouleversement régional ayant de graves répercussions jusqu'à l'autre bout du monde.

Ce phénomène est dû aux eaux du Pacifique-Est (zone du continent américain) qui sont plus froides que celles du Pacifique-Ouest (Asie). Cet écart de température est provoqué par les alizés. Ces vents réguliers soufflent en effet d'Est en Ouest le long de l’Équateur, et en balayant l'océan, ils entraînent les eaux de surface vers l'Océanie et l'Indonésie. Résultat: à l'Est, des eaux froides remontent des fonds marins pour remplacer les volumes transportés par les vents. Mais lorsque les alizés faiblissent, les eaux de surface ne se sont plus déportées vers l’Ouest et les courants froids ne remontent plus des fonds marins. Les eaux plus chaudes de la partie occidentale du Pacifique, quand à elles, avancent vers l’Est et réchauffent cette zone de l’océan. La température des eaux du Pacifique-Est augmente de 4 à 6°C. Des schémas explicatifs peuvent nous aider à mieux comprendre la situation de ce phénomène. La température des eaux du Pacifique-Est augmente de 4 à 6°C. C'est ce réchauffement inhabituel que l'on nomme El Niño.

Les conséquences sont extrêmement importantes à l’échelle régionale et mondiale. En effet, comme nous le savons, le phénomène se produit tous les deux à sept ans. Il faut parfois un an avant que les conditions climatiques ne reviennent à la normale.

De plus, en Océanie et en Indonésie, El Niño apporte un climat plus sec entraînant ainsi de nombreuses sécheresses et des incendies.

Puis, du côté de l’Amérique Latine, notamment au Pérou, au Chili et en Équateur, El Niño amène au contraire un air plus chaud et chargé en humidité, entraînant de très fortes précipitations dans des régions habituellement peu pluvieuses pouvant entraîner de nombreuses inondations.

Ensuite, en Amérique du Sud, les répercussions sur la pêche peuvent être désastreuses : en effet, les eaux les plus chaudes sont bien moins poissonneuses que les eaux froides riches en planctons.

Mais les conséquences d’El Niño ne se limitent pas aux littoraux de l’océan Pacifique. Ce phénomène bouleverse en réalité une grande partie de la planète à cause des téléconnections, les liens de causes à effets entre diverses anomalies météorologiques. C’est le cas en Inde où les scientifiques ont notés que les moussons dont dépendent pleinement les productions agricoles, sont moins abondantes lorsque survient El Niño.

Les changements climatiques ne s’arrêtent pas là, en effet, ils peuvent s’intensifier notamment avec les usines qui déversent des déchets dans les océans ou bien les marrées noires ainsi que les chocs pétroliers.

Le 20 avril 2010, sur la toute nouvelle plate-forme Deep-water Horizon, à 70 km des côtes de Louisiane, une explosion gigantesque s'est produit. Des flots de pétroles ont commencaient à jaillir en profondeur. Trois mois après l’incident, l’Amérique pataugeait encore dans la plus terrible marée noire qu'elle est connue puisque des cascades de pétrole se déversaient toujours sur les côtes. Entre 500 millions à 1 milliard de litres de pétrole ont été déversés dans les eaux du Golfe du Mexique.

Ce n’est pas le seul cas présent de nos jours puisqu’il y a aussi de nombreuses marrées noires dues à des chocs pétroliers, mettant en danger la biodiversité locale dont les pélicans bruns qui ont les plumes engluées et qui ne peuvent plus réguler leur température, ils risquent alors l’hyperthermie. Les planctons peuvent aussi être tués par le pétrole disséminé par les dispersants chimiques, mais les tortues de mer ainsi que les dauphins, les crevettes et les larves de poissons sont aussi menacés par les mares de pétroles.

Tout cela fait qu’un mal invisible se crée puisqu’une grande partie du pétrole échappé ne remonte pas jusqu’à la surface, les conséquences sur l’écosystème global de la mer sont considérables. De plus, les sédiments vont relâcher pendant des années des éclats de pétrole toxiques.

De plus, les usines participent au bouleversement climatique car l’industrialisation réchauffe de manière plus intense la planète. Sur la carte ci-dessous, qui a été faite par ltd, nous concluons qu’avec l’industrialisation mais aussi avec d’autres facteurs que nous avons déjà cité; les températures augmentent et les températures qu’il y avait en 2011seront nettement augmentées jusqu’en 2050. De plus la température qui est la plus basse en 2011, sera remplacée par une valeur plus importante en 2030 mais elle sera aussi la nouvelle température la plus basse.

Les changements climatiques sont aussi causés à cause des ouvertures des voies maritimes qui accentuent la fonte des glaces puisque depuis 1970 les glaces ont fondues de près de 40 %, ce qui est un chiffre considérable.

Par ailleurs, l’océan Arctique constitue l’un des principaux puits de carbone de la planète, absorbant entre 5 et 15 % des gaz à effet de serre. Si la fonte des glaces et le dégel du permafrost, sol dont la température se maintient en permanence inférieure ou égale à 0 °C. Pendant une période de 2 ans, se poursuivent dans la région, la quantité de carbone relâché sera bien supérieure à celle du carbone capté par l’océan.

De plus, l'augmentation de la température de l'eau a une incidence directe sur les catastrophes naturelles telles que les ouragans et les cyclones. L'eau plus chaude induit une augmentation du nombre et de la puissance des phénomènes violents tels que les ouragans. Selon une étude publiée par l'Université de Londres, une augmentation de la température à la surface de l'océan de l'ordre de 0,5°C a élevé de 40% le nombre d'ouragans dans l'Océan Atlantique entre 1996 et 2005.

Les océans jouent un rôle important puisqu'ils absorbent le CO2. Cependant, ils peuvent prendre de moins en moins de pétrole de nos jours.

Le réchauffement climatique aurait également un impact sur l'oxygénation des océans : la solubilité de l'oxygène diminue avec l'augmentation de la température de l'eau: plus l'eau est chaude moins il y a d'oxygène. Les conséquences sont l'asphyxie de la biodiversité marine et la limitation de son habitat.
Nous constatons que les températures sont de plus en plus chaudes plus les années passent. Nous savons que ceci est visible notamment de puis 2006 puisqu'en l'espace de 10 ans, la Terre a vu sa température augmenter de 0,960 degrés Celsius; à contrario entre 1890 et 1905 où la Terre s'était même refroidie puisqu'à cette époque, il y avait peu d'activités industrielles, ce qui n'est malheuresement plus le cas à l'heure actuelle.

 

 

Enfin, comme nous le savons, le réchauffement climatique entraîne une hausse des températures de l’air et de l’eau. Ce petit graphique (ci-dessous), nous aide à mieux comprendre comment évoluront les températures jusqu’en 2100. En effet, la courbe ne cesse de croître, mais nous pouvons remarquer que la température augmente anormalement plus vite par rapport à ce qu’elle devrait être.

Le bouleversement de l’écosystème ainsi que les changements climatiques dûs en partie aux activités humaines, nous pousse à réfléchir sur les solutions envisageables pour régler le problème, notamment en premier lieu les solutions possibles pour endiguer le processus.

4 février 2017

Le bouleversement des écosystèmes

Les bouleversements des écosystèmes sont dus à plusieurs facteurs ; le plus connu reste celui du réchauffement climatique mais il y en a d'autres dont nous entendons moins parler dans les médias et qui pourtant sont parfois plus dangereux. Les nombreuses activités humaines sur les mers en sont d’ailleurs l'un des plus gros facteurs. Sur terre ,il y a environ 253 millions d'années, une extinction de masse des écosystèmes a eu lieu à cause d'une météorite qui s'est écrasée sur la Terre. Sans cette extinction, nous devrions retrouver des espèces de cette époque de nos jours. D’après Peter Wagner, directeur de la section des fossiles invertébrés au Field Museum, "Des études d'écologistes spécialistes de la mer ont montré que les humains sont en train de ramener l'écosystème marin à son niveau d'il y a 550 millions d'années, avant l'explosion de la diversité animale. L'astéroïde qui a éliminé les dinosaures n'aurait pas réussi cela".

 

Pour commencer, la pollution des eaux par l'homme est très importante: les sacs plastiques, sont très présents dans les océans car il y a quelques années ils n’étaient pas interdit dans les grandes surfaces. Ce sont au final toutes les matières plastiques qui nuisent sur l’environnement puisque celles-ci sont Très mal recyclées ou alors jetées n’importe où.

 

Sur ce schéma de 2013, nous visualisons le cycle du plastique. Cette année là, 78 millions de tonnes de plastique ont été produites, 32% ont disparues et finiront dans l’océan, 40% sont arrivées dans des décharges ou dans le sol, 14% sera incinéré, éventuellement pour produire de l'énergie, 8% seront réutilisés de différentes manières dans des produits à bas coût et, finalement, seulement 2% seront recyclés. Nous comprenons donc que la matière plastique est un énorme fléau pour l'écosystème qui n’est pas capable de le détruire naturellement.

Mais l'homme ne jette pas que ses déchet dans l'eau, il fait aussi de l'exploitation massive qui crée parfois de très grosses catastrophes dans le monde. C’est le cas des exploitations de pétrole. Dans l'histoire, de nombreuses marrées noires ont eu lieus. Les plus dévastatrices restent celle de Koweït le 26 janvier 1991 avec près de 800 milles tonnes de pétrole déversées et celle du golfe du Mexique le 3 juin 1979 avec environ 500 mille tonnes de pétrole déversées. Ces chiffres sont énormes et ont causé beaucoup de dégâts. Rien que de nos jours, la dernière en date est celle du 26 mai 2014 et a eu lieu en France, ces accidents dévastent l'écosystème du milieu où ils se trouvent. Dans la mer, les dégâts ne touchent pas que la surface, les profondeurs sont aussi touchées. On appelle cela « un mal invisible » car une grande partie du pétrole échappé ne remonte pas jusqu’à la surface, on ne peut alors pas se rendre compte des effets produits. Ce schéma nous montre les différents impacts d'une fuite de pétrole suivant la profondeur ainsi que les répercussions sur les espèces animales présentes dans les océans.

 

Les déchets nucléaires et les eaux radioactifs sont aussi dangereux puisqu’ils représentent une grande catastrophe pour la biodiversité mais aussi pour la pollution énorme qu’ils apportent. Fukushima a reconnu en août 2013 avoir subit de grosses fuites d'eaux radioactives qui ce sont déversées dans l'océan. Celles-ci ont été déclarées de niveau 3 par les autorités de sûreté japonaises. Il y aurait eu environ 300 tonnes d'eaux radioactives déversées par jour. Encore un coup dure pour la biodiversité marine. Parfois, certains spécimens mutent dans le milieu radioactif. C'est souvent le cas pour les petits qui y naissent, ils ont des malformations et meurent donc souvent prématurément. L'espèce est condamnée à disparaître par manque de naissance.

 

 

 

De plus, de nombreuses espèces sont en train de voir leurs populations diminuées à cause de la pêche intensive ainsi que de la surpêche. Une récente étude scientifique démontre que les restrictions sur les quotas de pêche n’ont pas permis la régénération générale des stocks de poissons dans les mers d’Europe, déjà fragilisées par les bouleversements climatiques. Cela s’explique par le fait que ces restrictions ne sont pas toujours suivies à la lettre. En 2013, la Belgique, le Danemark, la Grèce, la France, l’Irlande, les Pays-Bas, le Portugal et le Royaume-Uni ont dépassé les quotas autorisés. Pour remédier à tout cela, la Commission Européenne a annoncé une déduction des quotas pour les pays concernés. Au total, ce sont plus de 21 200 tonnes de poissons de 45 espèces que les flottes européennes ont dû épargner pour 2014. Pour éviter toute fraude, la Commission assure aussi des contrôles réguliers pour chaque pays. Les stocks de gros poissons s'amenuisent et l'impact ce fait ressentir chez les hommes comme chez les animaux. Les oiseaux marins par exemple ont de moins en moins de nourriture. D'un autre côté, d'autres espèces sont-en sur nombre. Leur concentration massive à certains endroits entraîne le développement de maladies qui finissent par la suite par en tuer un grand nombre. Des maladies terrestres qui se développent normalement chez les chèvres, les vaches, les chiens et les chats ont terrassé certaines espèces marines comme les phoques ou encore les otaries. Celles-ci sont d’ailleurs aussi dangereuses pour les humains qui utilisent la mer pour le tourisme, le travail ou comme source de nourriture. Cela a été constaté à la suite de la découverte de cadavres échoués sur les rives à plusieurs endroits du globe. Les parasites, les champignons, les virus et les bactéries passent plus facilement dans les eaux avec les actions de l'homme pour assécher les zones marécageuses. Par exemple, un parasite cellulaire se nommant toxoplasma gondii provoque des avortements chez les vaches. Il menace maintenant les animaux marins. Les chercheurs appellent à une surveillance accrue des risques qu’entraîne pour la santé humaine cette forte présence de parasites et pathogènes d’origine terrestre chez les mammifères marins. A cause de ces activités, tout le milieu est bouleversé, le cycle naturel n'est plus assuré et les espèces périssent rapidement. La surpêche elle, empêche la reproduction des animaux car les pécheurs ne leur laissent pas assez de temps. La biomasse a diminué de plus de 54% ces 40 dernières années. Les zones les plus touchées sont la Mer du Nord, le sud et l’est de la mer de Chine, le bassin des Caraïbes, la côte est de l’Amérique du Nord, la Méditerranée, la Mer Rouge, le Golfe Persique, la mer de Béring et plusieurs régions occidentales du Pacifique.

 

 

 

Puis, la nature d'elle même fait souffrir ses écosystèmes, c'est ce que l'on appelle le réchauffement climatique. Une fois de plus, cela est dû à l'activité humaine. Le processus naturel de réchauffement de la planète a été grandement accentué par l'homme. Comme nous pouvons l’entendre à la télévision ou bien dans les médias, cela entraîne notamment la fonte des glaces. Un grand nombre d'espèces ce retrouvent sans lieu de vie, les paysages changent et les plantes commencent même à pousser à certains endroits ce qui n'était pas imaginable a l'époque où la glace et la neige s'étendaient a perte de vue. Maintenant on peut trouver de petites plaines de verdure en Arctique. Un grand nombre d'espèces vivant dans ces milieux sont amenées à disparaître, la banquise recule d'environ 13,4% toutes les décennies. Sa superficie étant trois fois plus petite qu'il y à trente ans. En 2016, la fonte des glaces a obtenu des records pendant 5 à 6 mois de l'année. Par la suite, cela entraîne l'augmentation du niveau de la mer créant des risques d'inondations. Ce réchauffement de la planète est en parti absorbé par l'océan, c'est un très grand modérateur du climat. En effet Il absorbe la chaleur accumulée dans l'atmosphère du fait de l'augmentation de l'effet de serre. Par ce fait, il capte plus d'un quart des émissions de CO2 libérées dans l'atmosphère.

 

Le stockage du carbone dans les océans est aidé par sa flore. En effet, les plantes absorbent et stockent le CO2 par nature. En Alaska, la restauration des loutres de mer a permis de réduire la population d’oursin. Celle-ci, en excès dans ces mers, se nourrissent du varech (ou chêne marin), une petit algue se développant dans son environnement mais qui malheureusement vient a manquer à cause de la surpopulation. En faisant diminuer la communauté d’oursins, les loutres permettent l'accroissement du développement de ces algues qui par la suite peuvent entraîner l'augmentation du stockage de CO2 qui passerait de 4,4 à 8,7%. Ainsi, en réduisant le nombre d'herbivores, les plantes ont plus de chances et de temps pour se développer, assurant une plus grande biodiversité. Par réaction chimique après dissolution, le CO2 libère de la chaleur donnant lieu à un réchauffement de l'eau et à son acidification : c'est ce qu'il ce produit dans les océans. Pour notre TPE, nous avons recrée ce phénomène avec de l'eau de mer que nous avons fabriqué. Nous avons alors pu observer grâce a un indicateur coloré, le pH de notre solution d'eau de mer et de CO2 s'acidifiait. En mer, le pH est passé de 8,179 à 8,104 en 50 ans. D’après certains experts, le pH des océans pourrait baisser de 0,3 unité de plus d'ici la fin du siècle pour s'établir à 7,8. En plus de cela, ils expliquent que si les émissions de CO2 actuelles continuent de croître à ce rythme, nous pourrions perdre des organismes marins auxquels nous tenons particulièrement comme les récifs coralliens, les huîtres ou encore les saumons. Cela paraît peut-être peu mais dans les océans, cela se ressent énormément.

 

Au Pérou, la pêche des anchois est un facteur économique qui produit beaucoup pour le pays et est un pilier du développement de l'espèce. Mais il a du être ralenti par le manque de poissons de cette espèce. Ceci est dû en parti à la surpêche mais aussi aux réchauffements des mers qui a eu pour conséquences la complication de la reproduction de l'espèce, la diminution des naissances et sa croissance. Une étude publiée dans la revue britannique Nature en 2011 montre qu'une diminution du pH à 7,8 (donc une plus grande acidité que celle actuelle) dans les récifs coralliens au large de la Papouasie Nouvelle Guinée, a entraîné un déclin de 40% de ses coraux. Dans les mers, c'est le carbonate qui est le plus important, notamment pour les coraux mais aussi pour les mollusques et certains planctons qui l'utilisent pour leurs coquilles. Malheureusement, à cause de l’absorption trop rapide du carbone dans les océans, il est épuisé et manque donc beaucoup aux espèces qui en ont besoin. Cette acidification a aussi affecté les végétaux. Les coraux subissent aussi énormément de dégâts. On voit cela avec la barrière de corail qui a déjà vu mourir prés de deux tiers de sa flore à certains endroits. Malheureusement, ce processus est irréversible. Certaines prédictions annoncent une disparition totale des récifs coralliens en 2050. D’après Philippe Germa, directeur de la WWF France, "Nous sommes en train d’épuiser notre patrimoine océanique, et si la dégradation n’est pas aussi visible que dans les terres, elle est belle et bien là". L’association de protection de la nature s’inquiète aussi de la pêche qui exploite et même surexploite 90% des stocks halieutiques (=Ressources vivantes (animales et végétales) des milieux aquatiques marins ou dulcaquicoles (eau douce) exploitées par l'homme (pêche, aquaculture)). Les thons rouges ont vu leur population diminuer de 96% depuis qu'ils sont péchés. La diversité biologique marine a reculé de 39% entre 1970 et 2010. 50% des coraux ont disparu et ils pourraient ne plus y en avoir du tout à l'horizon 2050. Ces lieux de vie pour certaines espèces entraîne leurs disparitions. Les mollusques sont aussi touchés avec des pertes de masse au niveau de leurs coquilles qui ne résistent pas à l'acidité et se dissolvent. Leurs protections et leurs habitats disparaissent alors.

 

 

 

Toutes ces catastrophes entraînent la mort de nombreuses espèces marines et parfois leur totale disparition. Le bilan est dramatique mais certaines personnes essayent de sensibiliser le monde et se battre pour chercher des solutions à tout cela.

 

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
3 février 2017

L'expérience

De plus pour montrer tout cela nous avons fait une expérience qui consiste à montrer que lorsque l'on met du CO2 dans de l'eau de mer, soit de l'eau salée , celle-ci s'acidifie.

 

-En premier lieu, nous avons crée nous même notre eau de mer grâce à 30g de sel pour 1L d'eau distillée.

-Ensuite, nous avons fabriquer nos témoins: le témoin A est composé d'eau distillée et de 3 cuillères de bicarbonate de soude.

Le témoin B lui, est entièrement composé de vinaigre.

Dans chacun des deux témoins, nous rajoutons 3 goûtes de rouge de phénol.

Le rouge de phénol est une espèce chimique qui sert d'indicateur coloré pour le pH. En regardant le pH de nos deux témoins, on peut voir que le pH de la solution A est égal à 3 et que celui de la B est égal à 9. Autrement dit, le témoin A est acide et le B est basique. Ces deux témoins nous serviront références pour la suite de l'expérience.

Voici nos deux témoins : celui de gauche est le témoin B et le A est celui de droite. Autrement dit, le rouge de phénol devient jaune au contact d'une solution basique et rouge au contact d'une solution acide.

 

-Suite à cela, nous avons fait notre solution que nous avons observé : nous avons mis de l'eau de mer dans un bêcher. Au préalable, nous avons mesuré son pH qui était de 7 ce qui signifie qu’il est neutre. Puis, nous y avons rajouté du CO2 grâce à une machine à sodas qui possède une bombe de gaz carbonique. Nous avons ensuite mis 3 goûtes de rouge de phénol.

-Enfin, nous avons pu observer que le rouge de phénol avait laissé une couleur rosâtre à la solution. Cela veut dire qu'elle est acide. Nous avons mesuré le pH qui est passé à 6 donc elle est belle est bien devenue acide.

Le résultat de notre expérience : les témoins à gauche (A à droite, B à gauche) et la solution d'eau de mer et de CO2 à droite. On peut constater la coloration rosé.

Ici, le pH que nous avons mesuré pour nos solutions avec tout en bas le pH du témoin A, au dessus celui, du témoin B puis encore au dessus, ce sont les deux pH de nos solutions d'eau de mer : celle du bas est prise après acidification et celle du haut avant. On constate un éclaircissement entre les deux.

 

Nous en avons conclut que lorsque l'on introduit du CO2 dans de l'eau de mer, celle-ci devient acide.

Plus tard, nous avons voulu faire une seconde expérience pour montrer que les mollusques perdaient de la masse au niveau de leurs coquilles. Malheureusement, cela n'a pas été fructueux. Nous pensons que cela vient du fait que nous n'avons pas eu assez de temps et que la résultat est plutôt visible sur le long terme. De plus, nous aurions peut-être du utiliser des moules vivantes.

Voici quelques photos :

Nous avions fait trois solutions d'eau de mer: une solution témoin qui n'était pas acidifiée, une autre qui l'était un peu et enfin une autre très acidifiée.

 

 

Dans chacune de ces solutions, nous avions mis deux moules.

 

 

Chaque semaine, nous allions peser les moules pour voir si leurs masses avait changés. Mais nous nous sommes vite rendu compte que cela ne donnait rien. Au contraire, certaines moules avaient gagnés en masse ce qui était totalement impossible car elles n'étaient pas vivantes.

 

 

 

 

 

3 février 2017

Des solutions pour endiguer le processus

Les questions qui se posent maintenant sont : Est-il possible de stopper le phénomène de destruction des océans ? Que faut-il faire ?

Nous pouvons tout d'abord nous demander si en tant que consommateur de produits issus de la mer, il est possible d'agir. Pouvons-nous faire en sorte que notre consommation personnelle de poissons soit mieux gérée ? Nous savons que la pêche industrielle est particulièrement nocive pour l'écosystème marin, et qu'elle est employée depuis 1990. Prenons l'exemple du thon que nous pouvons retrouver dans les placards de 9 français sur 10. L'association Greenpeace nous propose un classement des marques françaises qui oui où non respectent certains critères en matière de pêche. Nous constatons que l'enseigne U a amélioré la qualité de ses approvisionnements en thon car elle privilégie les thons non surexploités. Tandis que la marque Casino continue de commercialiser une sorte de thon considéré comme surexploité depuis l'année passée. Pour mieux choisir son poisson, il faut aussi regarder quelles techniques de pêche ont été employées et voir si elles sont durables. La pêche à la canne par exemple est plus valorisée que les DCP (dispositifs de concentration de poissons) puisqu'elle s'oppose à une pêche industrielle et intensive. Cependant, ce genre d'information sur la technique de pêche employée n'est pas toujours spécifié sur le produit en magasin. Moins d'1% du thon commercialisé par Casino provient d'une pêche à la canne alors que la marque Phare d'Eckmül propose des produits 100% pêchés avec cette technique. Ceci est la preuve qu'il est possible de réduire la consommation d'espèces surexploitées en prêtant plus d'attention à leurs achats. C'est donc au consommateur de vérifier qu'il achète un produit élevé selon des techniques de pêche durables et choisis pour son espèce ne présentant aucun risque à son extinction. Cela implique un changement de mode de vie individuel. Les grandes enseignes doivent elles aussi s'engager à vendre des produits répondant aux mêmes critères.

 

 

 

Pendant le XXème siècle, la consommation de produits halieutiques a augmenté de 58,5 millions de tonnes entre 1850 et 1980, ce qui est énorme. Nous comprenons alors que c'est urgence et qu'il faut agir. La mise en place de réserves marines protégées est là pour préserver les espèces marines. Le problème persiste puisque les aires marines n'occupent aujourd'hui que 0,6% de la surface totale du globe ce qui est insuffisant pour sauver des espèces. De plus, les quantités de poissons présents dans les sites d'aquaculture sont en baisse à cause de la demande mondiale de produits marins. La Commission Européenne propose alors réduire la surpêche, fermer temporairement certaines zones pour que les espèces puissent se reproduire.

La commission européenne souhaite également interdire les rejets pendant les pêches. Cependant, il faut prendre en compte la présence de produits juvéniles qui devraient rester dans les océans afin de ne pas mettre en danger l'espèce. La labellisation des pêches en milieu d'aquaculture durable serait une solution car elle inciterait les pêcheurs à utiliser des techniques de pêche plus respectueuses envers l'écosystème marin. L'un des principes qui doit être appliqué est la pérennisation des stocks de poissons car comme dit précédemment, il faut pouvoir assurer une pêche qui puisse durer dans le temps et qui n'efface pas une espèce. Le deuxième principe engagé a pour but de minimiser l'impact environnemental pour que la diversité de l'écosystème ne soit pas mise en danger. Pour terminer, un système de gestion efficace s'impose car la pêche doit respecter des lois nationales et internationales. La pêcherie doit être capable de s'adapter aux variations des quantités de poissons disponibles.

 

Sites d'aquaculture

 

Puis, au Pérou, la quantité d'anchois dans les océans a énormément diminué. Le vice-ministre péruvien parle d'urgence face à la chute de cette biomasse. Il suggère de parier sur l'aquaculture, une activité de production animale ou végétale en milieu aquatique. Ce mode de production serait une solution pour lutter contre la surpêche. En 2008, l'aquaculture fournissait 76,4% des poissons d'eau douce dans le monde. Le vice-ministre aimerait également réussir à développer des élevages de truites. Il souhaite diversifier les activités afin que la pêche ne se concentre pas seulement sur les anchois. De plus, la COP20 a permis aux pêcheurs péruviens d'obtenir des informations scientifiques qui pourraient aboutir à une décision durable.

Pour GreenPeace, 80% des stocks de poissons se trouvent en surexploitation. Cette organisation propose comme solution la mise en place 40% de réserves marines parmi toute la surface océanique présente sur le globe. 10% serait insuffisant, c'est pour cela que 40% est le nombre à atteindre car il permettrait de régénérer la biodiversité et l'écosystème marin.

Ensuite, il reste à savoir si des organisations ou autres associations se préoccupent de l'état actuel des océans. Le Giec (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l’Évolution de Climat) a par exemple pour but d’atténuer les effets du réchauffement climatique. Il a notamment réalisé un rapport spécial sur l'océan qui implique des choix politiques. L'organisation CliMates souhaite elle, promouvoir la jeunesse en sensibilisant cette partie de la population aux enjeux et solutions que propose les océans.

 

Par ailleurs, étant donné que les océans sont capables d'absorber les gaz à effet de serre, il en va de là qu'il subit de nombreuses conséquences que ce soit au niveau chimique ou physique. Cela forme en quelque sorte une chaîne dans laquelle les organismes marins et les sociétés humaines souffrent. Ceci devrait alors alarmer l'homme.

L'engagement pris lors de la COP21 est de limiter le réchauffement climatique à 2°C impliquant alors une réduction des émissions des gaz à effet de serre.

Des protocoles ont été mis en places, tout comme le protocole de Kyoto qui a pour but de lutter contre le changement climatique et de réduire les émissions de gaz carboniques. Cela représente un engagement pour les États qui doivent ainsi se contraindre au protocole. Ce sont principalement les États riches et développés qui s'investissent car ils représentent au moins 55% des émissions totales à la même date. La Russie par exemple s'engage à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de -5,5% Parmi les principaux gaz à effet de serre concernés, on trouve bien sûr le dioxyde de carbone, le méthane où encore les halocarbures. 55 pays ont accepté de se tenir au protocole de Kyoto qui est rentré en vigueur en 2005. Les États-Unis qui à eux seuls avaient une émission d'environ 30% en 2001 n'ont pas souscrit dès le départ au protocole de Kyoto mais, ont maintenant pris des mesures. C'est grâce à ce genre de protocole qu'on peut espérer que la situation des océans ne soit pas empirée et qu'il soit ainsi moins sujet à l'absorption de gaz à effet de serre.

 

Pays signataires du Protocole de Kyoto

 

Cette carte nous expose les pays qui participent au protocole de Kyoto depuis la première période ainsi que ceux qui n’y participent point.

Cependant, les pays savent que réduire leurs émissions les contraint parfois à avoir de moins grands rendements comme par exemple, au niveau de l'agriculture, qui pourtant rapporte énormément d'argent.

C'est donc à chaque pays de prendre des mesures. La France prend l'engagement d'exclure l'utilisation du nucléaire et de consommer moins d'énergie grâce à l'association Négawatt. Cette organisation a comprit qu'en réduisant la production d'énergie nucléaire, cela limiterait l'émission des gaz à effet de serre pour les océans.

Cependant, ce genre de solutions impose des choix politiques ce qui est aujourd'hui assez difficile à faire à cause des intérêts financiers que présente la production d'énergie.

De plus, un article d'Alternatives Internationales nous dit que des projet tel le Deep Decarbonization Pathways Project (DDPP) ont pour but de diminuer les rejets de carbone et que des réductions d'émissions de CO2 sont possibles aussi bien sur le plan technologique qu'économique. Ce projet suggère une baisse d'utilisation d'énergie pour obtenir un bien ou un servie. Nous appelons aussi cela décarbonisation de processus de transformation d'énergie. Il demande par la suite à chacun de réduire sa consommation d'énergie.

L'idée de transition énergétique commence à voir le jour. Changer le type d'énergie que nous utilisons, c'est la question qui se pose. Ce projet a un coût et c'est particulièrement cela qui fit peur aux entrepreneurs. Mais outre cet élément, quelles avantages s'en dégageraient ? D'après la Banque mondiale et le Fonds monétaire International (FMI), il faut arrêter d'utiliser les énergies fossiles. Ils suggèrent le passage à un investissement « vert », c'est-à-dire verser plus de capitaux vers des solutions durables pour la planète. Cette démarche renvoie à la décarbonisation qui vise à une fois de plus, réduire l'émission de CO2. Cette solution est possible mais nécessite la mobilisation de beaucoup d'entreprises.

 

Quantité de CO2 contenu dans l'océan en fonction des années

 

Ce gaz si néfaste pour l'océan fait l'objet de nombreuses réflexions. Certaines personnes ont pensé qu'il serait alors possible d'enfermer ce gaz afin qu'il ne puisse plus polluer l'atmosphère. En effet, nous pouvons stocker ce gaz dans une couche sableuse contenant également de l'eau salée se situant dans un sous-sol de la terre. Mais cette solution doit faire face à un problème majeur, le financement d’actions. Nous estimons à 100euros la capture d'une tonne de CO2. Nous ne sommes pas sûr que l'homme soit prêt à investir autant d'argent dans la protection de l'océan...

Puis, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) a pour but de protéger l'environnement. Cette agence est financé par 690 millions d'euros par an ce qui montre que de hauts moyens financiers sont tout de même nécessaires à la protection de l'environnement, ce qui comporte bien entendu les océans.

De plus, il faut prendre en compte le phénomène de montée des eaux car on ne le sait pas forcément mais énormément de déplacements dans le monde sont dus aux catastrophes naturelles. Certaines populations sont contraintes de quitter leur lieu de vie. Mais alors, quelles solutions pour ce genre de problème ? Le GIEC est à ce jour une des seules organisations qui s'en préoccupent. Cependant, les accompagnements envers ces réfugiés climatiques restent insuffisants et sont peu connus.

Sauver le « dernier océan », un projet à soutenir. Tout comme la mer de Ross, un des derniers patrimoines marins encore quasiment intact qui borde l'Antarctique. Possédant un écosystème très peu endommagé, il est réellement nécessaire de la préserver. Nous savons qu’elle s'étend sur 1,5 million de kilomètres carrés, un espace de pêche interdite va alors s'étendre sur 11,2 millions de kilomètres carrés. Ce sera le premier sanctuaire à voir le jour dans les eaux internationales. De plus, cette mer possède un écosystème précieux. Ainsi, toute pêche interdite dans ces eaux permettrait de restaurer des populations de poissons disparus.

La Plateforme Océan et Climat (alliance de plus de 70 organisations dont l’objectif est de valoriser l’expertise scientifique et de mettre en avant les enjeux de l’océan et du climat auprès du monde entier) a annoncé restée mobilisée pour l'année à venir.

Lors de la COP21, Justin Trudeau, le nouveau Premier Ministre libéral canadien nous as fait part de ses engagements pris envers la protection des océans. Il souhaite créer un « gouvernement libéral » qui pourra assurer l'augmentation des Aires Marines Protégées de 1,3% à 5% en 2017. Il aimerait instituer des garanties permettant de protéger les océans ainsi que l'écosystème qu'ils abritent. Et également, corriger le trafic de certains bateaux pétroliers pour pouvoir assurer laprotection de zones écologiquement fragiles face aux marées noires.

Nous pouvons retenir qu’ il est possible de trouver des solutions pour ralentir les processus qui mettent en danger les océans. Cependant, réparer l'océan est autre chose. C'est pour cela qu'il est nécessaire de prendre des mesures afin de le préserver.

3 février 2017

De multiples regards portés par l'Homme face à ces changements de l'écosystème marin

De multiples regards sont portés par l’Homme face à ces changements de l’écosystème marin.

En France, il est possible d'observer les océans à l'aide de satellites. Les explorations spatiales permettent de mesurer de la surface de la mer où encore d'étudier le niveau des océans. L'Homme est aujourd'hui capable de prévoir quelle surface la mer aura dans quelques décennies, des progrès visant à sensibiliser l'être humain.

Les balises mises en mer par Argo (programme d'observation) permettent également de faire des prévisions. Elles prévoient une augmentation de 3,8% des températures d'ici la fin du XXIème siècle. Ces estimations auront obligatoirement des répercutions sur les océans... Elles doivent servir à nous mettre en garde et ainsi, modifier notre comportement par rapport aux océans.

Plusieurs groupes ou organisations s'investissent dans la sauvegarde des océans. Par exemple, l'Académie des sciences en France qui a pour mission de promouvoir de hauts échanges mondiaux tout en mettant en avant les savoirs et les progrès scientifiques.

Absorbant plus de 25% du CO2, l'océan nous délivre près de la moitié de l'oxygène que nous respirons. Nous pouvons alors le considérer comme un poumon de la Terre et ainsi, se rendre compte de l'important rôle qu'il joue dans nos sociétés.

De nombreux experts regrettent la faible prise en charge des enjeux économiques et environnementaux des océans. C'est en effet un milieu que nous oublions très souvent de mentionner lorsque nous parlons du réchauffement climatique. Sa conservation est plutôt négligée, les hommes oublient souvent d'en parler. De plus, il mérite largement sa place dans les discussions environnementale car il est représentent d'énormes enjeux que l'Homme pourrait exploiter tout en le respectant. Dans un traité du droit de la nature et des gens datant de 1732, l'historien Samuel Von Pufendorf qualifie de l'exploitation des hommes sur l'océan par cette citation « en abusant du pouvoir sur les bêtes, l'Homme cause en quelques façons un dommage à toute la société ».

Des élections permettant aux citoyens de voter pour des projets en faveur des océans ont été mis en place. Le groupe Surfrider Foundation a lancé ces campagnes en 2014 pour que le plus de personnes possibles puissent faire entendre leurs voix via des pétitions. Cette organisation demande également à chacun d'agir en fonction de sa position politique et sociale. Ces actions que nous devons tous mener doivent être immédiates et permanentes. Cependant, même si chaque être humain se met à protéger l'environnement, il faudra des décennies pour voir les résultats. De plus, le processus de réchauffement climatique ne peut qu'être ralenti. Il est impossible de l'arrêter complètement. Il faut également prendre en compte les résistances politiques et financières des états, liées au grand rendement des industries fossiles. Nous voyons ici très bien que l'océan n'a pas son mot à dire. Il ne peut pas s'exprimer alors qu'il est le principal intéressé par tous ces débats. Nous comprenons alors que l'Homme est maître de l'océan et qu'il le domine. Il peut en faire ce qu'il veut, cela nous montre que toute les surfaces d'eau sur notre planète sont soumises à l'humain.

Sea Shepherd est une organisation internationale maritime fondée en 1977 par Paul Watson, un militant écologiste canadien. Elle se dévoue à la protection des créatures marines. Elle mène très régulièrement des missions contre la pêche de baleines par les flottes japonaises (très friandes de ces espèces). La Sea Shepherd a cependant besoin de dons pour entreprendre ses missions, on peut considérer que c'est une manière sensibiliser les gens et de faire en sorte que chaque petite action produite aide à la protection des écosystèmes marins.

 

Navire de la Sea Shepherd

 

L'Organisation des Nations Unies a célébré la Journée mondiale de l’océan le 8 juin 2016 à New York. Cette journée vise à rappeler l'importance des océans, informer le public sur l'impact que l'Homme a dessus. Elle a aussi pour but de créer un mouvement mondial en sensibilisant les populations à des projets de gestion durable des océans. En 2016, M. Ban Ki-Moon, le secrétaire général de l'ONU déclare : « Il est urgent de prendre des mesures au plan mondial pour atténuer les nombreux dangers qui les menacent et les protéger de ceux qui, à l’avenir, pourraient mettre leur stabilité en péril. ».

Par la suite, nous nous demandons si des résolutions ont été entreprises par les politiques lors des COP (Conférences Of the Parties). Et bien, le site Ocean & Climate Plateform nous informe que l'Océan n'a été reconnu que pour la première fois lors de la COP 21, ce qui paraît assez tard puisqu'il a déjà subit de nombreux dégâts. L'océan fait également sa première apparition dans le Préambule de l’Accord de Paris. Il est acteur du réchauffement climatique mais a visiblement été oublié de mentionner. C'est pour cela que la COP 22 promet de lui accorder de l'importance en mobilisant tous les États. Et la France joue son rôle puisque la ministre de l'écologie Ségolène Royal dit : « L'avenir de la Terre, c'est la mer ». Une phrase très prometteuse qui n'attend qu'à être mise en application. Notre ministre a de plus ajouté qu'elle soutiendrait la création d’une Alliance des initiatives océan et climat qui aura pour but de réaliser « l’ambition de réussir un développement durable en mer pour ne pas reproduire les erreurs que nous avons faites à terre ». Une autre personnalité, Françoise Gaill, coordinatrice du Comité scientifique de la Plateforme Océan et Climat souhaite investir dans l’océanographie et les sciences marines pour mieux connaître les liens existant entre le climat et les océans. Ensuite, elle aimerait se servir durablement des écosystèmes marins et côtiers pour leur rôle de puits naturels de carbone. L'accélération de la mise en place d'un plus grand nombre d'aires marines protégées est une autre priorité qui a été mise en avant lors de la Conférence de 2016. Préserver la biodiversité tout en l'utilisant à son avantage a également été souligné car elle permettrait le développement d'énergies marines renouvelables. De plus, il faut prendre en compte les régions les plus vulnérables du globe qui sont à soutenir et à adapter. Un des derniers points éclairés par F. Gaill, c'est le fait de dédier une partie du Fonds Vert (mécanisme financier de l'Organisation des Nations unies) à des projets côtiers et marins.

 

La Commission Océanographique Intergouvernementale de l'Unesco est une plateforme de recherches voulant intégrer l’Océan dans des solutions relatives au changement climatique. Pour elle, le maintien des écosystèmes marins est indispensable à la lutte contre les changements climatiques. Elle s'engage à réduire le risque des dégâts que peuvent commettre les tsunamis, inondations où autres catastrophes naturelles se produisant en milieux marins. Étant donné que les littoraux se développent de plus en plus, les populations vivant sur les côtes sont alors vulnérables. La COI souhaite encourager les communautés à mettre en place des mesures permettant l'atténuation des risques de ce type de phénomène. Elle sensibilise alors ces population en leur apprenant comment faire face aux catastrophes pouvant se produire.

La COI cherche à mettre en place des mesures principalement dans les lieux où les écosystèmes sont perturbés. Elle donne priorité au renforcement des capacités humaines et techniques des États nécessitant des aides à leur développement. Elle coordonne ainsi ses recherches sur les lieux qui en ont le plus besoin. Elle tente également de renforcer ses capacités à diriger les instituts de sciences marines et côtières. En d'autres termes, ses structures scientifiques et institutionnelles sont en constant développement.

 

 

Par ailleurs, nous constatons que ce sont principalement les grandes organisations qui s'engagent dans la protection des océans. Cependant, nous connaissons peu les initiatives qu'elles prennent. Autant se dire que même si de grands groupes prennent des mesures pour lutter contre le réchauffement climatique, d'autres personnes se préoccupent peu du sort de l'océan...

Un appel a notamment été lancé à la jeunesse car elle est là pour pourvoir des solutions futures. Un groupe de scientifiques du nom de Youth for Ocean s'investit par exemple dans la sauvegarde de l'océan. Cette organisation vise à rassembler des jeunes et à agir pour la planète et contre le réchauffement climatique.

Le prochain grand rendez-vous attendu est la Conférence des Nations Unies sur les océans qui se tiendra à New York le 5 juin 2017.

Pour finir, des engagements collectifs doivent voir le jour si nous voulons que les océans soient préservés. Un célèbre dicton dirait : « L'union fait la force ». En effet, si nous portions tous un regard différent face à l'utilisation que nous avons de l'océan, qui est par ailleurs un élément vital à nous, êtres humains, nous pourrions ralentir de nombreux problèmes environnementaux tel que le réchauffement climatique par exemple.

3 février 2017

En conclusion, nous pouvons retenir, que l'homme

En conclusion, nous pouvons retenir, que l'homme est le principal acteur de l'accélération du réchauffement climatique depuis de nombreuses décennies, bouleversant ainsi la biodiversité et l'écosystème marin. Les hommes surexploitent l'océan pour survivre depuis des siècles mais l'utilisent aussi pour des enjeux économiques, ne se souciant pas de la biodiversité marine qui est menacée en détournant les lois pour pouvoir avoir un gain d'argent plus important, ou pour créer des emplois au détriments des espèces maritimes. Les besoins des populations ne cessent de croître à cause du nombre en hausse d’habitants sur Terre devenant ainsi nuisibles pour l'océan et son écosystème devenu fragile.

L'écosystème marin est énormément endommagé par les actions de l'homme. Les nombreux dégâts qu'il a subit sont d'ailleurs le plus souvent irréversibles et donc irréparables. Un grand nombre d'espèces sont condamnés à disparaître. La faune et la flore ont fortement diminués durant ces dernières années. La pollution et la surpêche empêchent le développement des espèces puisqu’ils modifient leurs écosystèmes en les polluants. Le cycle naturel n'est pas respecté créant ainsi des carences et la famine s’installe chez de nombreuses espèces qui par ailleurs avec le réchauffement de l’océan engendre une asphyxie des animaux marins..

De nombreux changements climatiques sont visibles, mais, ils sont malheureusement irréversibles. Nous pouvons les voir sur toute la planète, notamment avec la hausse des températures et les menaces sans précédent qui pèsent sur de nombreuses espèces aquatiques. En somme, les changements climatiques se traduisent par une répétition des catastrophes naturelles tout comme les inondations ou les érosions près des îles.

Pour terminer, des solutions pour endiguer le processus de réchauffement climatique sont proposées par de nombreuses organisations où associations. Cela prouve que certaines personnes sont capables de s'investir pleinement dans des causes environnementales. Des techniques de pêche plus durables sont également suggérées. De plus, des protocoles ont été mis en place dans le but de sauver les océans. Cela représente un espoir pour l'avenir de notre planète. La sensibilisation est également un point clef dans la sauvegarde des étendues marines. Les futures populations ont donc toutes les cartes en main pour faire de notre planète un endroit meilleur et ainsi mieux protéger les écosystèmes marins laissés de côté pendant plusieurs décennies.

La prise de conscience de l’Homme ne doit pas se limiter à la protection de l’océan ainsi que la prise de conscience puisqu’il doit aussi préserver les forêts qui sont menacées par de grandes usines qui les déforestent.

3 février 2017

Bibliographie : -Martine Valo, Avec le

Bibliographie :

-Martine Valo, Avec le réchauffement, l'océan devient corrosif, Le Monde,10 Juin 2015 en p.6, n°21895

-Hélène Crié-Wiesner, Marée noire, autopsie d'une catastrophe, Sciences et Avenir n°763, septembre 2010, p.8 à 14

-Greenpeace (en ligne), GREENPEACE© mis à jour en 2011, (consulté le 08 décembre 2016).

Disponible sur : http://www.greenpeace.org/france/fr/campagnes/oceans/arrethon/

-Conso Globe (en ligne), rédigé par Nolwen le 26juin 2007. (consulté le 8 décembre 2016). Dispopnible sur : http://www.consoglobe.com/poissons-evitez-especes-voie-disparition-1974-cg

-Le Parisien, (en ligne), édité par ©LeParisien mis à jour le 5 juin 2015. (consulté le 8 décembre 2016)

Disponible sur : http://www.leparisien.fr/environnement/nature/quel-est-l-impact-de-la-plongee-sous-marine-au-fond-des-mers-03-06-2015-4829325.php

-Carte croisières en Arctique

Disponible sur: http://www.croisieresamarc.com/croisieres-polaires/arctique/arctique-groenland-vers-churchill/

-Slowfood (en ligne), édité par Slowfood, consulté le 26 septembre 2016

Disponible sur: http://www.carto-presse.com/wp-content/uploads/2011/04/0206_AccidentPetrole_Monde_V2web2-1024x547.jpg

-Carte montrant le nombre de plate forme pétrolière. Disponible sur: http://www.bing.com/images/search?q=carte+plate+forme+p%c3%a9troliere+maritimes&view=detailv2&&id=7E74594FB3D7355D4AE0FC204D49828517BC509A&selectedIndex=201&ccid=1zPnxtQt&simid=608039895768239647&thid=OIP.Md733e7c6d42d6d76dc219cf4ea74c399o0&ajaxhist=0

-Carte voie maritime transports de marchandises(en ligne) édité par https://www.annabac.com/annales-bac/les-espaces-maritimes-approche-geostrategique
-Slowfood : (en ligne) enjeux économiques des océans édité par Slowfood©
Disponible sur: http://slowfood.com/slowfish/pagine/fra/pagina.lasso?-id_pg=44
-Surpêche (en ligne), édité par Slowfood©, consulté le 22 septembre 2016
Disponible sur: http://slowfood.com/slowfish/pagine/fra/pagina.lasso?-id_pg=44
-Wereld in Beeld (en ligne) édité par Wereld in Beeld©, consulté le 22 septembre 2016
Disponible sur: http://www.wereldinbeeld.be/nieuws/quand-la-justice-favorise-la-capture-des-anchois-en-voie-de-disparition
-Les Afriques (en ligne), édité par LesAfriques©, consulté le 19 septembre 2016 Disponible sur: http://www.lesafriques.com/actualite/afrique-la-preservation-de-l-ocean-et-du-littoral-un-enjeu.html?Itemid=89
-Futura Planète, (en ligne), rédigé par Jean-Luc Goudet, publié le 21 janvier 2016- Consulté le 02 décembre 2016).
Disponible sur :
http://www.futura-sciences.com/planete/actualites/ocean-dechets-plastique-ocean-2050-il-y-aura-plus-poissons-61307/

-Rachel Mulo, Fukushima débordée par les eaux radioactives, Sciences et avenir n°799, septembre 2013

-S.Douadal et B.Lafon, Climat : le doute n'est plus de mise, Sciences et avenir, septembre 2013, n°799, p.10

-Marie-Noëlle Delaby , Les sciences et les côtes, Sciences et Avenir n°799, p.68

-Hélène Crié-Wiesner, Marée noire, autopsie d'une catastrophe, Sciences et Avenir n°763, septembre 2010, p.8 à 14

-Earth of fire, (en ligne) publié le 6 Janvier 2011 par Bernard Duyck

Publié dans : #Excursions et voyages

Disponible sur : http://www.earth-of-fire.com/article-l-archipel-des-galapagos-climat-courants-marins-faune-et-flore-64038588.html

-Christelle Barbier, Pérou : la disparition des anchois déroute les experts, LE MONDE n°21740, .6, publié le 10 décembre 2014

-Alexandre Magnan et Jean-Pierre Gattuso, L'océan acteur oublié du réchauffement global, Alternatives internationales. Hors-série (n°017) paru en Novembre 2015 en p.14-15

-Angela Bolis, Les îles Kiribati, enfer et paradis, Le Monde (N°21983) paru le 20 Septembre 2015 en p.8-9

-GEO, El Niño, le phénomène climatique qui bouleverse la planète, (en ligne) édité par GEO©.

Disponible sur: http://www.geo.fr/environnement/les-mots-verts/el-nino-le-phenomene-climatique-qui-bouleverse-la-planete-155750

-L'OBS, BP : la marée noire du Golfe du Mexique en 15 chiffres, (en ligne)

Disponible sur: http://tempsreel.nouvelobs.com/planete/20130225.OBS9971/bp-la-maree-noire-du-golfe-du-mexique-en-15-chiffres.html

-M.Lafont, La débâcle de l'arctique semble engagée, LE MONDE N°18976 p.3

-Bruno Foucart, Le réchauffement de la planète entraîne une « désertification » croissante des océans, Le Monde (N°19606) paru le 05 Février 2008 en p.8

-Fondation de France (en ligne), Bérengère Quincy, © 2016 (consultation le 24 novembre 2016).

Disponible sur : http://www.fondationdefrance.org

-LeMonde.fr (en ligne). Mblogs, publié le 18 avril 2016 ; consulté le 30 décembre 2016.

Disponible sur : http://oceanclimat.blog.lemonde.fr/2016/04/18/le-giec-place-locean-au-coeur-de-ses-preoccupations-et-decide-de-lui-consacrer-un-rapport-special/

-Wikipédia, (en ligne), édité par Wikipedia®, mis à jour le 14 mai 2016, (consulté le 8 écembre 2016).

Disponible sur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Phocoena_sinus

-LeMonde.fr (en ligne). Mblogs, publié le 13 décembre 2016 ; consulté le 30 décembre 2016.

Disponible sur : http://oceanclimat.blog.lemonde.fr/

-Futura Sciences, (en ligne), édité par Futura Sciences © 2001-2016

Disponible sur : http://www.futura-sciences.com

-Conservation nature (en ligne) édité par ©2008-2010 Conservation-nature.fr, (consulté le24 novembre 2016).

Disponible sur : http://www.conservationnature.fr/article3.php?id=221

-Christiane Gollier, Pierre-André Jouvet, Christian de Perthuis, Jean Tirole, Conférence sur le climat : à Lima, il faut aller plus loin, LE MONDE n°21740, p.15, publié le 10 décembre 2014

-Alexandre Magnan et Jean-Pierre Gattuso, L'océan, acteur oublié du réchauffement global, Alternatives internationales, hors-série (N°017) paru en Novembre 2015 en p.14-15

-Alain Grandjean, Benoît Leguet et Ian Cochran, Les cinq clés du financement de a transition énergétique, Alternatives Internationales hors-série n°17 p.25, paru en novembre 2015

-Organisations d'événements pour sensibiliser la population sur le changement climatique (en ligne), édité par Ocean Climate©

Disponible sur: http://www.ocean-climate.org/?s=youth+for+ocean&lang=fr

-Le cri du poulpe, (en ligne), édité par Le cri du poulpe© le 5 septembre 2016, consulté le 30 décembre 2016.

Disponible sur: https://cridupoulpe.wordpress.com/2016/09/05/enjeux-de-la-protection-des-oceans-au-canada/

-Thibaut Schepman, J'ai surfé sur les réseaux sociaux qui veulent sauver la planète, Terraéco p.74, mai 2013

-Loïc Chauveau, Des outils de mesure de plus en plus nombreux et précis, Sciences et Avenir, septembre 2013, n°799, p.12

-Académie des Sciences, (en ligne) édite par Académie des Sciences ©, consulté le 08.01.2017.

Disponible sur : http://www.academie-sciences.fr/fr/Colloques-conferences-et-debats/les-oceans.html

-Annie Cazenave, « La mer ne fait pas de pause : elle continue à monter », Terraéco n°47, p.24 à 27, publié en mai 2013

-GreenPeace (en ligne), publié par GreenPeace©, consulté le 15 décembre 2016

Disponible sur : http://www.greenpeace.org/france/fr/campagnes/oceans/arrethon/

-Ocean & Climate Plateform, (en ligne) édité par © 2017 Ocean & Climate Plateform en 2017, consulté le 08.01.2017.

Disponible sur : http://www.ocean-climate.org/?p=3879

-Sea Shepherd, (en ligne) édité par Sea Shepherd © en 2016, consulté le 08.01.2017.

Disponible sur : http://www.seashepherd.fr/

-Organisation des Nations Unies, (en ligne) édité par ONU © en 2016, consulté le 08.01.2017.

Disponible sur : http://www.un.org/fr/events/oceansday/

-Titouan Corlet, On a sauvé le dernier océan... pour l'instant, Science & vie Junior, février 2017, p.22à 25, n°329

-Olivier Nouaillas, Le changement climatique pour les nuls, FIRST Editions, Paris 2014

P49 «  3 français sur 4 inquiets du changement climatique » (livre pour les nuls)- Les réseaux sociaux qui veulent sauver la planète article Terraéco p.74livre Le changement climatique pour les nuls

Paru en 2014 aux éditions First Editions par Olivier Nouaillas

L'ouvrage essaie de répondre aux questions suivantes : Pourquoi la diversité des milieux et des espèces est-elle notre meilleure garantie de survie? Quels sont les fantasmes et la réalité du changement climatique? Comment l'homme peut-il réinventer son mode de vie? ©Electre 2015Cote 551,6 NOU le changement climatique pour les nuls

p.26à33 : Comment fonctionne la « machine climatique » ?

p.36 : Le cycle de l'eau, c'est la vie !

Ch.2 : Le climat d'hier à aujourd'hui

Ch.3 : Les océans et les côtes

acidification de l'océan : p.73

la biodiversité menacée : P.74

la barrière de corail : P.75

P.77;P.78 : invasion des méduses

-Alexandre Magnan et Jean-Pierre Gattuso, L'océan acteur oublié du réchauffement global, Alternatives internationales. Hors-série (n°017) paru en Novembre 2015 en p.14-15

-F.Dupuis, Les îles Kiribati, enfer et paradis, LE MONDE n°19543, p.3 à 5

-H.Neurot, La débâcle de l'arctique semble engagée, LE MONDE N°18976, p.5-6

-Q.Derrat, Le réchauffement de la planète entraîne une « désertification » croissante des océans, collection : LE MONDE n°19606

-Interview : « la mer ne fait pas de pause,elle continue à monter »

collection : Terra éco n°047 p 24-27

-Stéphane Foucart, LE MONDE n°21773 La planète a dépassée certaines de ses limites, le 17 janvier 2015

-M.Adery, Le retour de la rareté, collection : Alternatives Économiques n°097 hors-série

-Les dérèglements de la planète

collection : MILAN COTE : 551.6 TOU

passage p8 : « il y a 10 000 ans la terre entrait dans une phase de réchauffement climatique. »

p7 : « réalisée en 1982 par la commission européenne, la protection de l’environnement figure au troisième rang derrière la lutte contre le chômage et celle contre le terrorisme »

p34 : « en 1998 , 70% des coraux de l'océan indien sont morts certains avaient plusieurs centaines d'années d'existence, »

p45 » le plan climat 2004 est un plan national de réduction émissions de gaz a effet de serre «,

-Article de périodique : les hommes contre la nature,une vieille histoire .

P48 : « Conférence de presse en 2002 le président s'en fiche du climat pour ne pas perdre d'argents »

-Article de journal : les leçons d'une gigantesque marée noire

collection : science et vie junior n°251 p 22-27

-Hélène Crié-Wiesner, Marée noire, autopsie d'une catastrophe, Sciences et avenir, septembre 2010, n°763 p.8 à 14

-Arnaud Filleul, L'avenir du climat en questions : l'acidification des océans

collection, COSINUS, ©2010, n°118 p5 à 8

Futura Science, (en ligne) par Jean-Luc Goudet, consulté le 20 novembre 2016

Disponible sur : http://www.futura-sciences.com/planete/actualites/ocean-dechets-plastique-ocean-2050-il-y-aura-plus-poissons-61307/

GEO, (en ligne) par GEO Rédaction, consulté le 15 novembre 2016

Disponible sur : http://www.geo.fr/environnement/les-mots-verts/el-nino-le-phenomene-climatique-qui-bouleverse-la-planete-155750

Le Monde.fr, (en ligne), rédigé par Bindidon le 20 novembre 2015. (Consulté le 01 décembre 2016).

Disponible sur : http://oceanclimat.blog.lemonde.fr/2015/11/18/tout-ce-quil-faut-savoir-sur-lacidification-des-oceans/

Sud Ouest, (en ligne) édité par SudOuest.fr avecThe Conservation (consulté le 28 janvier 2017).

Disponible sur : http://www.sudouest.fr/2016/02/05/surexploitation-des-oceans-ou-en-est-on-2265254-739.php

Enbata.info, (en ligne) édité par Jonathan Guitton (consulté le 28 janvier 2017). Disponible sur : http://www.enbata.info/articles/nos-oceans-et-vies-versus-leurs-profits/

Publicité
Publicité
Changements climatiques et conséquences des actes de l'Homme sur les océans
  • Ce blog a été créé dans le cadre d'un devoir de lycée, pour l'épreuve de TPE au baccalauréat. Nous traitons du changement climatique et des conséquences des actes de l'Homme sur la nature. Et plus précisément sur les océans et leur acidification.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Publicité